Les activités de la période nocturne du premier jour de la Fatwa culturelle annuelle du Festival de la Sainte Défense, dans sa septième édition, ont débuté au sanctuaire d'al-Abbas (p) aujourd'hui, jeudi.
Le festival a vu la présence de membres du conseil d'administration du sanctuaire sacré et de chefs de ses départements, ainsi que la participation de nombreuses personnalités religieuses, séminaristes, officielles et universitaires, de l'intérieur et de l'extérieur de l'Irak.
Le festival est organisé par le Département des affaires intellectuelles et culturelles, le Département de la Fondation Al-Wafi pour la documentation et les études, et l'Association scientifique et intellectuelle Al-Ameed, pour célébrer l'anniversaire du lancement de la Fatwa de la Sainte Défense, sous le slogan : (La référence religieuse est la forteresse de la nation islamique), à l'Imam Hassan Hall (que la paix soit sur lui), et cela durera deux jours.
Les activités de la deuxième période ont commencé par la récitation de versets du Saint Coran par le lecteur Muhammad Reda Al-Zubaidi, suivie d'un discours à l'équipe de l'équipe du massacre de Camp Speicher, prononcé par le directeur du Centre irakien de documentation de Extremist Crimes et le superviseur des travaux de l'Encyclopédie Speicher Massacre, le Dr Abbas Al-Quraishi, dans lequel il a déclaré que La fatwa de défense a dessiné les traits de la nation irakienne et son héroïsme en protégeant la terre et les lieux saints''.
Puis vint un film documentaire sur les familles des martyrs du massacre de Camp Speicher, des poèmes sur le massacre et le dévoilement des deux exemplaires de l'encyclopédie Speicher Massacre (encodés et non cryptés), suivi d'un paragraphe honorant l'équipe de recherche du Encyclopédie documentaire et les institutions qui y ont contribué, ainsi que d'honorer un certain nombre de familles de victimes Spyker.
La première période a vu le discours du Secrétariat général du sanctuaire sacré d'al-Abbas (p), puis deux documentaires ont été projetés, sur les mérites de la fatwa et les sacrifices des Irakiens et le rôle de l'autorité religieuse suprême à cette époque, le premier a été produit par le Centre de production artistique Al-Kafeel affilié au Département des médias, et le second a été produit par la Fondation Al-Wafi pour la documentation et les études.
La séance du matin s'est terminée par la thèse d'ouverture, qui portait sur le djihad défensif de Sayyid Tabataba'i, le moudjahid (que son secret soit sanctifié) et l'autorité religieuse suprême, Sayyid Ali al-Sistani.