Le président de la Cour suprême fédérale d'Irak, le juge Jassim Al-Amiri, a présenté un document dans lequel il a discuté du rôle de la constitution irakienne dans la promotion de la paix sociétale, dans le cadre des activités de la Conférence sur la responsabilité internationale pour le génocide, qui s'est tenue à la capitale française, Paris.
La conférence est organisée par une délégation du sanctuaire sacré d'Al-Abbas (p) à Paris, dirigée par un membre de son conseil d'administration, M. Jawad Al-Hasnawi, et comprenait à la fois le chef du département des sciences intellectuelles et culturelles, M. Aqeel Al-Yasiri, et le directeur du Centre irakien de documentation des crimes extrémistes, Dr Abbas Al-Quraishi, en coopération avec l'Académie française de géopolitique, dans le but de faire la lumière sur les crimes commis par les terroristes contre le peuple irakien.
Al-Amiri a discuté de ses recherches intitulées (Le rôle de la Constitution irakienne dans la promotion de la paix sociale) via un circuit électronique fermé.
Dans son introduction, il a souligné l'importance de reconnaître les valeurs humaines et l'égalité des droits de l'homme comme fondement de la liberté, la justice et la paix, soulignant que l'attaque contre ces valeurs a conduit à des actes barbares qui ont suscité la colère de la conscience humaine.
La recherche a examiné l'évolution des lois et conventions internationales pour lutter contre les crimes contre l'humanité, y compris le génocide, qu'elle définit comme des actions visant à détruire un groupe national ou religieux par le meurtre, en lui infligeant des dommages physiques ou psychologiques ou en lui imposant des conditions de vie qui conduisent à la destruction partielle ou totale du groupe.
La recherche a souligné la nécessité pour les pays de s'engager à appliquer le droit international et à élaborer des stratégies préventives pour empêcher la répétition des crimes de génocide et à garantir que leurs auteurs soient traduits en justice, notant que le génocide est un crime punissable à l'échelle mondiale, et tous les pays ont le droit de poursuivre les personnes impliquées.