Un éloge organisé par les Saints Sanctuaires à la mémoire du Radoud hosseini Hamzah Zaghayar ...

Dans nos souvenirs, nous avons connu plusieurs personnalités symboliques inoubliables qui ont laissé leurs empreintes dans l'histoire, des parcours éternels alors qu'ils nous ont quittés. La communauté refuse de les oublier, continue à admirer leur combats pour la cause de la religions avec courage et sincérité. C'est sur principe que les deux Secrétariats généraux des saints sanctuaires célèbrent l'anniversaire de la mort du grand célèbre ( Radoud) Hamzah al-Zeghayar, une commémoration intitulée ( le revival de la voix hosseini retentissante) en présence de personnalités religieuses et culturelles, ainsi que des visiteurs qui connaissent tous la voix émouvante du défunt pleurant Ahlo-Baite paix soit sur eux.

M. Ali al-Bawi, le responsable médiatique de la Zone d'Entre al-Haramayne déclare pour le site officiel al-Kafil : « cette commémoration est organisée chaque année à la mémoire de cette grande personnalité de Karbala qui passa sa vie à servir les Majalis Hosseini, mais à l'occasion, des hommages ont été rendu à d'autres Rawadid comme Mohammed Hamzah al-Karbalaei et le poète Kadhim al-Mandhor al-Karbalei. Après la lecture des versets coraniques, des brèves résumés biographiques ont été exposés suivis des poésies populaires irakiennes avec des poètes de la ville de karbala et d'autres villes, tous , voulant rendre hommage à ce grand défunt hosseini Hamzah al-Zeghayar qui donna tout ce qu'il pouvait au service des causes hosseini par seulement sa voix et ses poésies !!

Le vrai nom de hamzah Saghir est Hamzah ibn Aboud ibn Ismail Sa'di, né à karbala dans le quartier Bab taq en 1921. Il grandit orphelin de père et fut le fils unique de ses parents. Ce fut le Cheikh al-Hajj Abbas al-Saffar qui l'orienta vers la lecture des majalis hosseini et était passionné par la lecture et la mémorisation des poésies hossinis. Il fut surnommé Saghir ( le petit) car il y a avait à la même époque un autre Radod plus âgé également célèbre, la plupart de ses poésies ont été écrite par le célèbre poète irakien Kadhim Mandhor, toujours lues jusqu'à nos jours dans les majalis hosseini.