Le Centre d'Etudes Africains du sanctuaire saint d'al-Abbas (p) cherche les problèmes et des solutions pour l'extrémisme sur le continent africain.

Le Centre d'études africaines du Département des affaires intellectuelles et culturelles du sanctuaire sacré d'Abbas a tenu son premier atelier sur «La géopolitique de l'extrémisme et du terrorisme sur le continent africain» le vendredi matin 11 Jumada II 1438 AH correspondant au 10 mars 2017 dans la salle d'al-Qassem fils d'al-Hassan (la paix soit sur eux deux) au sanctuaire saint d'al-Abbas (p) avec la présence et la participation de chercheurs et d'universitaires de l'intérieur et en dehors de l'Irak.
Cet atelier, qui est l'un d’autres ateliers qui aborderont des questions similaires et connexes, est organisé pour discuter des affaires africaines et des questions liées aux affaires irakiennes, comme le phénomène du terrorisme, dont les études indiquent que la plupart des dirigeants des organisations terroristes viennent du continent africain.
L'atelier a été ouvert par la récitation de versets du Saint Coran suivis par le mot du directeur du Centre africain d'études Sayeed Hashem al-'Alladi. Ensuite, les interventions de l'atelier, animées par le professeur Khairi abd al-Razzaq al-Khaffaji, ont débuté par la présentation des recherches des professeurs et des universitaires.
Le Professeur Qassem Mohamad 'Obeid a présenté une recherche sur la géopolitique des organisations terroristes en Afrique, dans laquelle il a exposé les questions et des solutions à la question du terrorisme en Afrique et de la fragilité des pays d'où provoque le terrorisme.
Deuxièmement : Prof. Dr. Suhad Ismail Khalil, présentant une recherche sur le recrutement de groupes terroristes dans la stratégie américaine envers l’Afrique (une comparaison géopolitique et dans laquelle elle a discuté de la géographie du continent et de son association avec le MoyenOrient.
Troisièmement : Dr. Ali Fares Hamid, présentant une recherche sur l'investissement du système de valeurs dans les stratégies des puissances régionales envers l'Afrique. L'Arabie saoudite et l'Iran comme modèle.
Les débats et les interventions ont ensuite été ouverts à l'auditoire et les chercheurs ont répondu à leurs questions et demandé et clarifié ce qui nécessitait des explications complémentaires.
Puis les certificats d'appréciation et les cadeaux ont été distribués aux professeurs participants. L'atelier a été conclu par le Dr Ahmad Mohamad Tansh, Doyen de la Faculté d'Archéologie de l'Université de Qadisiyah, dans lequel il a appelé à trouver des solutions typiques aux problèmes soulignés dans l'atelier et à les adopter par les professionnels et les Concernées.
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