En images : Dans la nuit de la neuvième de Muharram, les processions de condoléances Husseinite se rappellent Abdallah le nourrisson.

Une série de tragédies, de douleurs et de grandes atrocités, portés par l’incident Al-Taf, et de ces tragédies, la plus grande injustice est le meurtre du nourrisson Abdullah Ibn l’Imam Al-Hussein (paix sur lui).

Les processions de condoléances d’Achoura et à leurs habitudes il y a des décennies, ils réservent la neuf de Muharram soir commémorent cette douloureuse occasion aux sanctuaires saints Al-Hussein et son frère Al-Abbas (paix sur eux deux), avec la participation d’enfants habillés en vert et blanc, et des bandeaux sur lesquelles écris Ö Abdellah (le nourrisson).

Il est raconté que lorsque l’imam Al-Hussein (paix sur lui) est resté seul après le meurtre de sa famille et ses compagnons (paix sur eux), il est retourné au camp, et a demandé qu’on lui donne son fils nourrisson, et il l’a mis sur ses jambes en disant : « Mépris à ceux qui ont pris ton grand-père le messager d’Allah ennemis ».

Et Zainab (paix sur elle) a dit à son frère que la mère du nourrisson n’a plus de lait, part demandé à ces gens de donner de l’eau à ce bébé.

Et l’imam Al-Hussein (paix sur lui) est sorti aux soldats et a crié : Ô peuple, et les gens se sont tourné vers lui, puis il a dit : « Ö peuple, vous avez tué mon frère, mes fils et mes partisans, et il ne reste que ce bébé et il a soif, donnez-lui un peu d’eau.

Les gens étaient entre ceux qui voulait donner de l’eau et d’autres qui refusaient, et d’autres qui disaient tuez-les tous. Amr Ibn Saad commandant des soldats de Yazid Ibn Muawiya s’est adressé à Harmala Ibn Kahil El-Assad et lui a dit de faire quelques choses pour faire taire les gens.

Harmala dit : « J’ai compris les paroles du prince, et j’ai dirigé ma flèche, j’ai regardé où je vais le tirer et j’ai vu une lumière du cou du bébé comme une théière en argent et je l’ai visé, et elle a transpercé son coup, et le bébé a enlacé son père Al-Hussein et s’agitait comme un oiseau égorgé, et Al-Hussein a mis sa main sur le cou de son fils, et a soulevé sa main au ciel et il a dit : « Ö mon Dieu, soit témoin que ces gens ne laisseront aucun descendant de ton prophète. »

L’imam Al-Hussein (paix sur lui) est retourné au camp, et Sakina l’a reçu en disant : « père avez-vous donner l’eau à Abdullah et vous nous avez apportez le reste », et il a dit : « ma chère fille, ton frère est égorgé par une flèche ».
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