Le mois de Safar

La date approche, et les cœurs battent se dirigeant vers Karbala, chargés de peines et larmes pour la tragédie de ceux qui sont au ciel avant la terre.

Les processions de service commencent leur installation dans le sud et centre de l’Irak, pour servir les foules des millions venant de différents pays vers les deux sanctuaires saints ; du maître des martyrs et de son frère Al Abbas ( la paix soit sur eux deux).

Nulle adresse pendant Safar qu’Al Hussein, et aucun drapeau ne se tient au-dessus de sa bannière, et toute parole porte son nom, et les larmes sont pour sa calamité, et la générosité irakienne pure en mentionnant Al Hussein (p).

Pendant le mois de Safar, les nationalités et les races convergent, chacun sert et aide son frère Husseinite, aucune différence entre Arabe et étranger, toutes les identités disparaissent devant la grandeur de l’identité universelle ; Al Hussein (p).

Pendant ce mois la voix de la grande ambassadrice d’Al Taff , Sayeeda Zeinab (p) ; l’héroïne de Karbala et la langue de la réforme Husseinite, retentit, et tous les musulmans avec le cœur uni porte le même drapeau (Labayka Ö Hussein).

Les habitant de Karbala comme à leur habitude ouvrent les portes de leurs maisons aux visiteurs, en leur proposant lieu d’hébergement, repas, soin et service gratuitement, tel est la générosité Husseinite, la générosité en ses moments de fraternité où les cœurs pleurent ensembles. Et où le monde islamique attend l’épopée annuelle ; l’épopée de loyauté et d’amour, l’épopée de la ziyarat des millions de l’Arbaeen.
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